
Quel Président pour la RCA ?

Théodore Kapou (né en 1964)
Théodore Kapou se présente en tant que candidat indépendant. Ancien président de la Communauté des églises apostoliques en Centrafrique, il est nouveau sur la scène politique. Contrairement à la plupart des candidats, il n’a occupé aucun poste ministériel. Il a toutefois travaillé en tant qu’observateur électoral pour la mission de l’ONU en Côte d’Ivoire.
Sa vision politique
Nouvelle ère pour la Centrafrique »
Tel est l’idéal rédempteur autour des valeurs de la Paix et de l’Unité, qui lui est inspiré dans l’appel reçu, pour sauver la Patrie, à travers la dynamique de la refondation.
Théodore KAPOU, objecteur de conscience, théologien formé et pêcheur d’âmes perdues à Dieu à l’instar du précurseur Barthélemy BOGANDA, Président-fondateur de la République Centrafricaine, est le Candidat indépendant providentiel qui suscite déjà une très grande attention de l’opinion nationale (toutes sensibilités et confessions confondues) ce, depuis l’annonce de sa candidature le lundi de Pentecôte (09 juin 2014).
Toute sa vie n’a été consacrée qu’à prêcher l’évangile en Centrafrique et dans le monde (Afrique, Amérique, Europe), qui est aussi et d’une autre manière faire de la politique mais la vraie politique socio-spirituelle et éducative sans avoir été un politique au sens classique du terme. Aujourd’hui, par la force des choses et après mûre réflexion suite à l’appel reçu, il descend enfin dans l’arène politique, pour transformer et partager le feu de Dieu qui brûle en lui en acte de rédemption et de développement.
Ce n’est pas un hasard, car il n’est pas interdit aux hommes et femmes de Dieu, qui sont aussi bien des citoyens porteurs d’idéaux, de s’engager dans la haute administration et dans l’arène politique au service de la Nation, comme de nombreux Directeurs Généraux, Conseillers à la Primature et à la Présidence, Conseillers Nationaux, Médiateurs, Ministres…. Le paradoxe c’est qu’ils sont bien nombreux à occuper ces postes, à prier et à jeûner nuit et jour pour le pays, malheureusement rien ne bouge, au contraire tout tombe en ruine, parce que le noyau de décision n’est pas coiffé par un homme ou une femme qui ait vraiment la crainte de Dieu afin de mettre résolument en pratique ses préceptes dans le processus de gouvernance au profit strict et global du peuple sans exclusif. Préceptes bibliques résumés en la vertu fondamentale qui est l’AMOUR de son prochain sans aucune distinction d’où le respect des droits humains, la garantie des libertés fondamentales et de la démocratie, la protection des citoyens et du territoire, la création des conditions idoines et permanentes de bien-être du citoyen pour son épanouissement et sa prospérité, la production et le partage équitable des richesses qui justifient à suffisance un développement maîtrisé et durable.
51 ans, marié et père de 8 enfants, il a présidé plus de dix années durant et sans faille à la grande Communauté des Eglises Apostoliques de Centrafrique (CEAC) et était aussi Président du Synode de l’Alliance Evangélique de Centrafrique (AEC). Il a été Expert des opérations électorales en Centrafrique et coopté par les Nations Unies pour partager ses expériences à l’international. En matière d’initiatives sociales, caritatives et agropastorales, c’est un promoteur et bon gestionnaire incontestable à travers plusieurs œuvres réalisées sur toute l’étendue du territoire, lesquelles partagées voire cédées aux différentes communautés qu’il a eu à évangéliser et à encadrer durant son ministère apostolique.
Serviteur de Dieu et homme politique plus qu’engagé aujourd’hui, il a à cœur de promouvoir une profonde refondation en matière de bonne gouvernance d’où la rupture prônée par rapport aux gestions chaotiques, sectaires et prédatrices passées. La cohésion sociale est son cheval de bataille pour restaurer le « vivre ensemble » d’antan où toutes les communautés s’étaient brassées et les confessions se partageaient respect mutuel et affection spirituelle au point d’organiser souvent des cultes œcuméniques, pour renforcer la concorde nationale. Musulmans, chrétiens, Séléka, Antibalaka et FACA ne cessent d’affluer chez lui, pour s’assurer de son engagement afin de le soutenir.